La galerie rouvre ses portes le 10 septembre 2020 avec une très belle expo…
Préparez vos masques!    

Victor Sitkevitch

Plasticien autodidacte spécialisé dans l’art figuratif, natif de Toulouse, j’ai vécu ma jeunesse dans l’Aude… Mes origines sont multiples : Ukraine, Danemark, Algérie, France. Je suis issu d’une famille d’artistes (Père et Grand-Père) et j’ai sculpté des petites figurines dès l’âge de 6 ans (cire perdue et coulage en plomb). Après un passage à Montpellier pour les études et un service militaire enrichissant au Sénégal (1992-1994), je décide de développer et d’extérioriser ma passion .

8 ans d’atelier sur Toulouse m’ont permis de pratiquer du modèle vivant tous les 15 jours. J’ai commencé à exposer et j’ai eu mon premier prix en 2009. Depuis, j’ai multiplié des expositions aux alentours de la ville Rose et les prix obtenus, le statut d’invité d’honneur et de membre de jury m’ont encouragé dans mes nouveaux projets de sculptures.

Claudie Bousquet

La constance dans sa créativité artistique a permis à Claudie Bousquet d’évoluer vers une perception de l’essentiel dans une composition. Portraits, paysages, natures-mortes, dessins et encres auréolés de la lumière de sa Provence natale portent sa griffe que l’on reconnaît au premier coup d’œil. Délicieux instants d’émotion pris sur le vif en découvrant une composition saisissante par la magie de sa créativité. De la sensibilité intuitive plus qu’extrême alliée à son sens de l’observation nous entraînent dans son univers plein de poésie.

La porte de ses secrets picturaux, aquarelle, acrylique, dessin, encres, est ouverte à tous les élèves de ses ateliers et stages qu’elle anime.

Elle a reçu de nombreux prix dans les Salons et notamment le 1er prix d’aquarelle au dernier Salon d’Automne de Fronton.

Jean-Claude Coustilières

Ce que nous confie Jean-Claude Coustilières:

« De mon enfance, dans un petit village de l’Aveyron (Villevayre), je garde un regard tout particulier sur la nature que j’exprimerai très tôt à travers le dessin.

Diplômé de l’École des Beaux Arts de Toulouse, je me consacre à travers mon métier à l’architecture.

Ce n’est que plus tard, au bord des ports Bretons, que je croise la route de peintres aquarellistes qui éveillent en moi  le désir d’associer le dessin à l’aquarelle.

Je découvre au fil des ans le bonheur dans ce chemin plein d’embûches, tel un funambule, tellement la prise de risque peut être fatale.

Mais quelle joie d’arriver à capturer le travail des pigments dans l’eau, de traduire une émotion, une atmosphère, une lumière, une transparence.

C’est aux cotés des peintres toulousains, Jean-Louis PONFERRADA et Ryton CAZENAVE que j’approfondis la technique de ce médium.

Plus tard, mon chemin pictural se poursuit sur les routes du MAROC où je découvre au cours de nombreux voyages la magie de la lumière, les couleurs, les paysages… et le travail en plein air «sur le vif» avec les aquarellistes Michel MONTIGNÉ et Charles KÉRIVEL.

Artiste confirmé, je participe à de nombreuses expositions, régionales et internationales, qui m’ont permis de faire de belles rencontres, notamment Ewa KARPINSKA, Victoria et Slava PRICHESKO, Roland PALMAERTS, Alvaro CASTAGNET, Ross PATTERSON… qui m’ont donné une ouverture vers d’autres regards sur l’aquarelle dans le monde.

Aujourd’hui, je me consacre quotidiennement à cette passion que je partage par le biais de cours et de stages en atelier et en extérieur. »

 

Olivier Giner

Olivier Giner est un artiste éclatant d’originalité.

De la peinture sur toile et sur feuille à la bande dessinée, en passant par la poésie et le street art, il peut s’approprier n’importe quel style ou support. Ses aquarelles vous permettront d’avoir un aperçu de sa maîtrise.

Sa conception de l’art est simple : pas de limites. Oiseaux, félins, créatures féeriques, paysages… et de la couleur !

Alain Guichard

Professeur retraité d’arts plastiques à Toulouse et pianiste à ses heures, il a débuté très tôt (10 ans) son envie de peindre.

Il n’a jamais cessé d’exposer en France et à l’étranger (Suisse, Allemagne).

Primé dans de nombreux salons en France : le Reader’s Digest à Paris, Béziers, Colomiers, Balma, Castelsarrasin et bien d’autres.

Ses expositions sont toujours un événement.

De l’abstraction à la figuration : esthétisme et originalité, une composition solide faite de lignes issues de coulures (Dripping) dont naît l’image.

Le pinceau déroule les formes à la verticale de la toile.

L’œil se complaît dans ce dédale de lumière poétique et musicale.

Isabelle Seruch Capouillez

Née en France, elle passe toute sa jeunesse en Belgique en immersion avec la peinture des maîtres flamants ou surréalistes et déjà une attirance pour les aquarelles de l’artiste Folon.

C’est en arrivant à Toulouse à l’atelier du Capitole qu’elle rencontre Paul LEBERGER et que naîtra sa passion pour l’aquarelle, elle fréquentera les ateliers de Pierre DARQUES et Daniel SCHINTONE à l’école des Beaux Arts de Toulouse.
Elle poursuit seule ses recherches picturales partagée entre vie de famille et le métier de graphiste. Aujourd’hui ses créations sont présentées dans de nombreux salons, en galeries en France et à l’étranger.
Elle est membre du bureau de « la Mosaïque » galerie associative de la commune de Saint Jean en Haute Garonne, fait partie du groupe Aquarelle Plein Air France et aime partager sa pratique.
 

Carré d’Artistes écrit : « Libre dans sa pratique, l’artiste refuse de se restreindre à un thème, à un médium ou à un instrument. Exploratrice, elle envisage l’infini des possibilités techniques mais l’aquarelle, fascinante dans sa capacité à faire se mouvoir l’eau, la lumière et le pigment retranscrit pour elle avec intensité l’intériorité humaine et le paradoxe des émotions. Acquérant aujourd’hui une grande maturité dans sa pratique, Isabelle Seruch Capouillez allie une grande maîtrise technique à un travail profondément imaginatif.
Sa peinture figurative capture furtivement visages et corps en mouvement dans un style libre, spontané et libéré de tout académisme. 
Avec une grande conviction, elle dresse portraits, paysages et marines et expérimente avec toute la sincérité et la liberté de son monde intérieur.
L’onirisme rencontre ici le réalisme dans une expérience riche et collective, un univers généreux partageant son monde d’émotions. »